samedi 30 avril 2016

Le Comité d'Entreprise

Le Comité d’Entreprise : le CE
Lors de ces élections, un premier vote sera fait pour désigner les membres du Comité d’Entreprise. Les salariés qui se présentent pour cette instance sont des collaborateurs de toute la France qui participent à des réunions avec la direction pour connaître la situation économique et la santé sociale de notre entreprise, mais également ils participent à des commissions telles que l’égalité homme/femme, la CFP, la GPEC, le 1% logement…
Ces élus conditionnent et coordonnent également toute la partie des activités sociales et culturelles (A.S.C) qui sont les loisirs proposés au niveau national.
Sur la liste CFTC du CE, vous retrouverez ainsi sur les 15 sièges titulaires et 15 suppléants, au moins 4 collaborateurs de Pau Bayonne Toulouse. 
Durant la précédente mandature, ces personnes ont déjà œuvré en faveur des loisirs accessibles en local et régional :
ü les journées ALTO à moins de 10€
ü l’après midi de Noël
ü les week-ends sportifs (ski en Andorre, Jeux d’hiver à Luchon, ski UCPA à Saint Lary, finale Top 14 à Barcelone…)
ü les week-ends tourisme (Albi, Cordes, Fraisse sur Agout…)
ü les week-ends capitales européennes (Londres, Prague, Riga, Bruxelles…)
ü les week-ends parcs en famille (Disney, Port Aventura, Puy du Fou, Marinland…)
Pour que ces prestations continuent, nous comptons sur vos voix.

jeudi 28 avril 2016



A vos côtés, les élus CFTC respectent leurs engagements !


·    Constructif : pas d’à-peu-près Vous avez un problème, une question ?  La CFTC est présente  pour vous aider à trouver une solution.

·    Fiable : pas de défaillance. Quand nos collègues ont besoin d’un soutien, nous assurons leur défense sans condition.
·     Tenace : pas d’esquive. Si votre management de proximité ne répond pas à vos questions, la CFTC est là pour les remonter au niveau approprié,  afin  qu’une solution soit trouvée.
·     Crédible : pas d’amateurisme. Les collègues qui s’adressent à nous savent que la CFTC, qui a négocié et signé la majorité des accords en vigueur à Capgemini, ne se laissera pas intimider sur les droits des salariés.

mardi 26 avril 2016

Info : les 80 ans des congés payés


En 1936, six mois avant l’arrivée du Front Populaire, la CFTC publie un plan en faveur de la généralisation des conventions collectives, du salaire minimum, des allocations familiales, de la réduction du temps de travail, l’instauration d’une assurance-chômage...
Après cette élection, de grandes grèves se déclenchent dans les entreprises, paralysant le pays.

Les syndicats et les organisations patronales réussiront à conclure de difficiles négociations : les « Accords de Matignon ». 

Le gouvernement Blum innove en créant un secrétariat d’Etat chargé de la santé publique, des loisirs et des sports. Le portefeuille va à Léo Lagrange, un avocat élu député en 1932.

La loi de 1936 sur les congés payés fera naître de nombreuses associations qui conduiront au tourisme populaire.

Les Comités d’Entreprise ont alors un rôle prépondérant dans l’accès effectif aux vacances. Ils sont à l’origine de multiples initiatives en matière culturelle, sportive, touristique et de loisir notamment avec la création des colonies de vacances, des camps de vacances et plus tard des villages vacances.

lundi 25 avril 2016

Elections professionnelles

Vous allez être amenés à voter afin de renouveler les membres du Comité d’Entreprise et les Délégués du Personnel pour toutes les sociétés de l’UES Capgemini.

Ce vote sera ouvert du jeudi 26 mai à 10h au mardi 31 mai à 14h et se fera de façon électronique.

Les personnes que vous allez élire seront vos représentants durant tout la mandature pour une durée de 3 ans. C’est pourquoi votre voix est primordiale et votre choix crucial.    

Les salariés que vous aurez choisi feront partie du Comité d’Entreprise ce qui signifie qu’ils participeront à faire vivre les activités sociales et culturelles ainsi que les différentes commissions : Economique, Logement, Egalité femme/homme, Formation, CFP, Voyages, Enfance…

  •  Vous êtes convaincu que l’humain prime sur le taux d’activité
  •  Vous pensez que « savoir s’opposer et toujours proposer » est une solution dans le dialogue social
  • Vous souhaitez contribuer à faire vivre les activités sociales et culturelles de votre CE
  •  Vous avez le sens de l’engagement
  •  Vous avez envie de défendre vos collègues en défendant leurs droits


Votre place est parmi nous !
contact@cftc-cap.fr
Tél : 09 72 54 50 42

lundi 18 avril 2016

Combien de salariés et de patrons sont syndiqués en France ?


Syndicat
Le dialogue social affiche en France une certaine singularité. Le nombre de salariés couverts par la négociation collective est très élevé dans l’hexagone, tandis que le taux d’adhésion syndicale y est parmi les plus faibles de l’OCDE.

En matière de dialogue social, la France occupe depuis plusieurs décennies une place à part au sein des pays développés. En 2013, les syndicats de salariés représentaient 7,7 % de l’ensemble des salariés, et seulement 5 % des salariés du secteur privé, soit le taux de syndicalisation le plus faible des pays de l’OCDE, à l’exception de la Turquie, alors que la moyenne de l’OCDE est de 16,9 %.

Le poids des organisations représentatives est surtout perceptible au travers du taux de couverture des accords collectifs, qui est en France très important. Ainsi, en 2013 en France, 98 % des salariés sont ainsi couverts par un accord de branche ou d’entreprise.

Taux d'adhésion syndicale
Taux d’adhésion syndicale et de couverture des accords
Ainsi, si le taux de syndicalisation est limité à 4,5 % en Turquie, il atteint plus de 60 % dans les pays nordiques (Danemark, Suède, etc.) qui, comme la Belgique, appliquent le « système de Gand », c’est-à-dire qu’il faut obligatoirement être syndiqué pour obtenir certaines prestations (chômage, notamment). Ce qui n’est pas le cas en France.
 
Quant aux employeurs, ils sont les plus syndiqués d’Europe auprès de l’une des trois organisations organisations patronales (CGPME, Medef, UPA).

Quand en France, les employeurs sont les plus syndiqués d’Europe,

 le temps n’est-il pas venu pour vous de vous syndiquer à votre tour ?