lundi 28 décembre 2015
lundi 30 novembre 2015
NAO 2015
La
NAO* 2015 a démarré
La Direction a réuni en octobre les organisations syndicales pour
ouvrir les négociations annuelles obligatoires.
D’ores est déjà, la CFTC porte ces revendications:
ü Attribution
d’une part collective de la NAO entre 30% et 50% quelque soit la note de
performance
ü Mise en place
d’un accord NAO pluriannuel
ü Révision du calcul du taux horaire de référence
ü Mise en place
d’une grille de salaire cible selon le grade et le rôle
ü Prise en
compte dans les mesures collectives d’une montée des minimas de l’UES pour
les bas salaires selon coefficients dits « Syntec »
ü Enveloppe
pour le complément du budget des rattrapages salariaux femmes/hommes
(cf. engagement pris dans l’accord
ü Ouverture
d’une négociation sur la mobilité et le déplacement professionnel
A suivre les propositions de la Direction, dans un contexte où l’enveloppe globale des augmentations tourne
autour de 1% ...
|
La NAO 2014 n’a concerné que 4099 salariés de l’UES pour une part de
0,15% de la masse salariale.
*NAO : Négociation Annuelle Obligatoire
vendredi 27 novembre 2015
lundi 16 novembre 2015
« Communiqué intersyndical CGT- CFDT – CFE CGC – CFTC – UNSA – Solidaires – FSU 14 novembre 2015
Après les attentats effroyables commis cette nuit à Paris, les organisations signataires CGT – CFDT – CFE CGC – CFTC – UNSA – Solidaires – FSU assurent de leur solidarité toutes les personnes et leurs proches qui en ont été victimes.
En frappant indifféremment la population, en ciblant des lieux de culture, de sport ou tout simplement de loisirs et de rencontres amicales, fréquentés par beaucoup de jeunes, les terroristes envoient un message clair : c’est bien toute la société qui est aujourd’hui visée.
C’est pourquoi le mouvement syndical, tout comme il s’était rassemblé après les attentats de janvier dernier, exprime ensemble son émotion mais assure aussi que rien ne saurait remettre en cause sa détermination à lutter contre toute les atteintes à la démocratie, à la paix et aux libertés.
Comme elles l’avaient fait au début de l’année 2015 en décidant de travailler sur toutes les incidences pour le monde du travail, matérialisé par le texte « Vivre ensemble, Travailler ensemble », les organisations syndicales se retrouveront très prochainement pour poursuivre leurs échanges sur la situation créée par ces attentats et poursuivre leur engagement pour lutter contre les replis, les stigmatisations, les divisions, contre toutes tentatives de terreur dans lesquelles veulent nous enfermer les terroristes, afin de continuer à faire société ensemble. »
vendredi 25 septembre 2015
ZONES TOURISTIQUES INTERNATIONALES : Une consultation dans la forme ?
Si la CFTC conçoit qu'il puisse y avoir un traitement particulier pour certaines zones atypiques (Champs-Elysées, Musée du Louvre...), elle déplore la parution des décrets d'application établissant les « zones touristiques internationales ». Outre le fait que certaines d'entre elles ne devraient pas bénéficier de ce statut, la CFTC déplore qu'aucune réponse n'ait été apportée aux trois questions de bon sens qu'elle avait posées à l'occasion de la consultation initiée avant parution de ces textes.
1) Silence sur les conséquences pour le commerce de proximité bordant les ZTI, notamment en banlieue et le contre coup mécanique sur l'emploi.
2) Silence, à la veille de COP 21, sur les conséquences environnementales des futures ouvertures. Rappelons que d'après l'ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie), un ménage faisant ses courses en grande surface - centres commerciaux consomme 30 fois plus d'énergie et émet 70 fois plus de CO² que le même ménage effectuant ses courses dans les commerces de proximité.
3) Silence sur les conséquences en termes de vie familiale et de réussite scolaire. Alors que l'on s'inquiète à juste titre, de voir les classes populaires et moyennes avoir de moins en moins accès aux études supérieures, quelles sont les répercussions sur le suivi scolaire des enfants dont les parents travaillent jusqu'à minuit ?
La CFTC rappelle qu'elle considère l'ouverture des commerces en nocturne et celle des grandes enseignes le dimanche, comme un vrai choix de société. Voulons-nous sauvegarder un temps où la consommation et la production sont entre parenthèses pour permettre la vie familiale, personnelle, associative et spirituelle ou préférons-nous subir la dictature du profit de quelques-uns aux dépens du bien commun ?
lundi 3 août 2015
Forte progression des résultats de Capgemini au premier semestre 2015
Chiffre d'affaires publié en croissance de 9,9% sur un an,
marge opérationnelle de 8,7% en hausse de 0,8 point et résultat net en progression de +21%.
Relèvement des perspectives pour 2015 au vu des résultats du 1er semestre et de l'intégration d'IGATE au 1er juillet
Pour lire le suite.
Relèvement des perspectives pour 2015 au vu des résultats du 1er semestre et de l'intégration d'IGATE au 1er juillet
Pour lire le suite.
mercredi 8 avril 2015
Top 10 des SSII en France en 2014 : Capgemini devance IBM et Atos.
En légère
croissance, Capgemini distance IBM, en recul, comme première SSII en
France en 2014. Troisième, Atos profite du rachat de Bull pour éloigner
la menace Sopra, qui déboule en quatrième position grâce au rachat de
Steria.
Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC), Capgemini est, pour la seconde année consécutive, la première SSII de l’Hexagone. La société dirigée par Paul Hermelin creuse même l’écart sur son rival immédiat, IBM, qui affiche un recul de près de 3 %. Comme en 2013, la troisième marche du podium est occupée par Atos. Grâce au rachat de Bull, la SSII de Thierry Breton éloigne Sopra, 4ème, qui à la faveur du rachat de Steria se rapprochait dangereusement gagnant 4 places dans ce top 10. Notons d’ailleurs que PAC évalue ici le chiffre d’affaires de Atos-Bull en année pleine (alors que la fusion n’a eu lieu qu’en cours d’année).
Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC), Capgemini est, pour la seconde année consécutive, la première SSII de l’Hexagone. La société dirigée par Paul Hermelin creuse même l’écart sur son rival immédiat, IBM, qui affiche un recul de près de 3 %. Comme en 2013, la troisième marche du podium est occupée par Atos. Grâce au rachat de Bull, la SSII de Thierry Breton éloigne Sopra, 4ème, qui à la faveur du rachat de Steria se rapprochait dangereusement gagnant 4 places dans ce top 10. Notons d’ailleurs que PAC évalue ici le chiffre d’affaires de Atos-Bull en année pleine (alors que la fusion n’a eu lieu qu’en cours d’année).
Comme le note Franck Nassah,
vice-président de la recherche et du conseil de PAC, le top 10 des SSII
en France affiche, dans son ensemble, une légère décroissance (-0,3 %
par rapport à 2013). Et ce, alors que le marché est lui plutôt en
progression (+ 0,5 %). « Mais le top 10 aurait affiché une progression (+ 0,7 % NDLR) sans HP et IBM, remarque l’analyste. Ces
deux acteurs sont tirés vers le bas par les prestations de maintenance
autour de leurs matériels, qui décroissent assez rapidement ».
Le Top 10 est complété par CGI, l’ex-Logica désormais aux mains de la SSII canadienne, GFI, société très centrée sur l’Hexagone et qui apparaît comme une cible potentielle dans le mouvement de consolidation qui semble animer le marché, et Econocom, qui entre dans le classement à la faveur de l’absorption de Steria par Sopra. Si cette société affiche une croissance enviable, celle-ci provient presque entièrement de rachats effectués par le groupe, précise Franck Nassah
GFI : une cible idéale ?
5ème du classement, Orange Business Services a dépassé les 1,1 milliard d’euros de chiffres d’affaires en France. De son côté, Accenture, porté par une croissance explosive (+ 6,2 %), se rapproche du seuil du milliard. « Cette société a renouvelé son catalogue en 2013, avec des offres métiers, très verticalisées, commente Franck Nassah. Certaines reposent notamment pour partie sur les volumes de transactions. C’est un peu le modèle du management consulting repensé pour le monde du as-a-service. »Le Top 10 est complété par CGI, l’ex-Logica désormais aux mains de la SSII canadienne, GFI, société très centrée sur l’Hexagone et qui apparaît comme une cible potentielle dans le mouvement de consolidation qui semble animer le marché, et Econocom, qui entre dans le classement à la faveur de l’absorption de Steria par Sopra. Si cette société affiche une croissance enviable, celle-ci provient presque entièrement de rachats effectués par le groupe, précise Franck Nassah
mercredi 18 février 2015
Certains salariés chez CAPGEMINI sont amenés, pour des
besoins professionnels, à se rendre à l’autre bout de la France voire du monde.
Comment le temps de transport pour ces déplacements est-il
considéré ?
Le temps de déplacement professionnel pour se rendre sur le lieu d’exécution du contrat de travail n’est pas un temps de travail effectif.
Vos élus CFTC ont largement négocié et fait aboutir l’accord spécifique sur la santé au travail chez CAPGEMINI et ont apporté des avancées sur l’éloignement du domicile, à savoir :
Le temps de déplacement professionnel pour se rendre sur le lieu d’exécution du contrat de travail n’est pas un temps de travail effectif.
Vos élus CFTC ont largement négocié et fait aboutir l’accord spécifique sur la santé au travail chez CAPGEMINI et ont apporté des avancées sur l’éloignement du domicile, à savoir :
- Votre responsable doit rechercher avec vous la compensation sous forme de jours de repos formalisée sur votre ordre de mission ;
- Des recherches d’aménagement spécifique, comme par exemple 3 nuits chez le client, 4 jours travaillés, la cinquième journée étant en télétravail ;
- En cas de déplacement sur plusieurs jours, afin d’éviter un départ le dimanche soir, la possibilité pour vous d’arriver plus tardivement le lundi matin.
- La recherche d’aménagements d’horaires le dernier jour de la semaine afin de préserver votre repos hebdomadaire.
mercredi 28 janvier 2015
Un test rapide et gratuit pour savoir si vous êtes en risque de burn out
Le cabinet Technologia, spécialisé dans la prise en charge des risques psycho-sociaux dans l'entreprise, a créé un test avec 20 questions courtes destinées à mesurer le degré d'exposition à l'épuisement professionnel.
Quand on est proche de l'épuisement professionnel, il est difficile de mettre le travail à distance et de se rendre compte de son sur engagement. L'important c'est de bien se connaitre et de comprendre son rapport au travail. Cette évaluation est là pour ça.Attention Cette évaluation individuelles ne remplace absolument pas une interrogation collective sur l'organisation du travail et sur les raisons qui mènent au burn out. Dans les entreprises, c'est l'affaire du CHSCT.
Alors n'hésitez pas. Prenez contact avec les élus CFTC du CHSCT Sud Ouest.
lundi 26 janvier 2015
Quel dispositif pour ma fin de carrière ?
Vous êtes salarié de CAPGEMINI avec une ancienneté d’au moins 10 ans ?
Vous êtes éligible à une retraite sans surcote dans le cadre des régimes de base généraux dans les 3 ans à venir ?
La CFTC a contribué à la signature de l’accord d’entreprise (accord sur le contrat de génération du 13/09/2013 – réf. 706a – consultable pour les adhérents dans la bibliothèque CFTC) vous permettant alors de travailler à 80 % (équivalent à 4 jours de travail par semaine) sur 3 ans maximum avec l’accompagnement suivant de l’entreprise :
Ainsi un salarié qui est à temps partiel à 80 %, bénéficiera d’un passage à 60 % à temps partiel avec un maintien de sa rémunération à hauteur de 70 % d’un temps plein pendant les deux premières années et 60 % ensuite. Il bénéficiera d’un maintien des cotisations sur la base de son temps partiel (80 %) avant mise en oeuvre de ce dispositif.
A la fin de ce dispositif, vous serez à la retraite soit à l’initiative de l’employeur ou soit de la vôtre.
Vous êtes éligible à une retraite sans surcote dans le cadre des régimes de base généraux dans les 3 ans à venir ?
La CFTC a contribué à la signature de l’accord d’entreprise (accord sur le contrat de génération du 13/09/2013 – réf. 706a – consultable pour les adhérents dans la bibliothèque CFTC) vous permettant alors de travailler à 80 % (équivalent à 4 jours de travail par semaine) sur 3 ans maximum avec l’accompagnement suivant de l’entreprise :
- une rémunération à 90 % sur les deux premières années, puis 80 % la dernière année suivant l’entrée dans le dispositif ;
- une indemnité de départ à la retraite ou de mise à la retraite équivalente à celle que le salarié aurait perçue sur la base d’un temps plein ;
- Un maintien des cotisations à l’assurance vieillesse de base et complémentaire sur la base du salaire qu’aurait perçu le salarié s’il avait travaillé à temps plein (article L241-3-1 du code de la sécurité sociale).
Ainsi un salarié qui est à temps partiel à 80 %, bénéficiera d’un passage à 60 % à temps partiel avec un maintien de sa rémunération à hauteur de 70 % d’un temps plein pendant les deux premières années et 60 % ensuite. Il bénéficiera d’un maintien des cotisations sur la base de son temps partiel (80 %) avant mise en oeuvre de ce dispositif.
A la fin de ce dispositif, vous serez à la retraite soit à l’initiative de l’employeur ou soit de la vôtre.
vendredi 23 janvier 2015
Réforme du dialogue social - Une occasion manquée
Les partenaires sociaux ne sont pas parvenus hier à s'entendre sur un accord concernant les modalités du dialogue social en entreprise.
La CFTC le regrette.
Elle n'est pas opposée au principe et à l'objectif d'une simplification de bon sens des instances et des pratiques de représentation du personnel à condition que cette simplification ne conduise pas à un appauvrissement des prérogatives et moyens des représentants des salariés. Le dernier texte soumis aux négociateurs n'apporte pas, de ce point de vue, suffisamment de garanties!
Pour lire la suite Réforme du dialogue social - Une occasion manquée
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